vendredi 18 juillet 2008

Juillet 2008


Depuis le 3 juillet, je suis à nouveau en Grèce, bien décidée cette fois-ci à prendre des contacts par Athènes Accueil. C’était sans compter avec les vacances : toutes ces dames sont soit en France, soit dans les îles et les activités ne reprennent qu’à la mi-septembre. Cela n’a rien de vraiment étonnant mais j’ai hâte de me faire des copines, car à part le chauffeur du bus et les caissières des supermarchés je ne vois pas grand monde. Alors je vais régulièrement à la bibliothèque du centre culturel Franco-Grec pour lire les journaux Français. Située sur une colline et au 3ème étage, elle offre une très belle vue.

N’ayant aucune base en grec, même ancien, à part les quelques lettres utilisées en mathématiques (mais en section littéraire, c’est très limité) j’apprends à lire les majuscules, les minuscules et à dire les quelques phrases nécessaires au minimum quotidien. C’est étrange de penser que ce pays européen n’utilise pas le même alphabet que nous. Petite consolation, la monnaie est la même, et ça c’est bien pratique !


Surtout pour faire les marchés de plein air où l’on trouve tous les fruits et légumes de saison, directement du producteur au consommateur.

















Athènes et sa banlieue constituent une ville immense, impressionnante par son étendue quand on l’aperçoit depuis quelque colline. Comme à Rome, sa cousine, on compte à Athènes de nombreuses collines auxquelles s’accrochent des milliers d’immeubles de 3 à 4 étages et, comme partout, il manque cruellement de places de stationnement, ce qui ne facilite pas la vie des piétons dont je suis.

Au cours de mes pérégrinations urbaines je constate que la Grèce n’est pas épargnée par les tags, phénomène mondial, lui aussi. Et devant l’ampleur de la tâche, personne ne songe même à les enlever ! Il y aura du travail pour les archéologues des prochains millénaires...!









Pour notre premier WE de juillet, nous sommes partis à la découverte des plages, pas tant pour la baignade que pour les paysages. Et, après avoir traversé des paysages désertiques, nous sommes arrivés sur de sympathiqes petites plages familiales, assez étroites, en galets ou en sable avec, enfin ! le ciel bleu et la mer bleue.





En allant un peu plus loin, nous avons découvert par la même occasion des sites archéologiques très peu visités quoique très intéressants comme Ramnos.


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