N’ayant aucune base en grec, même ancien, à part les quelques lettres utilisées en mathématiques (mais en section littéraire, c’est très limité) j’apprends à lire les majuscules, les minuscules et à dire les quelques phrases nécessaires au minimum quotidien. C’est étrange de penser que ce pays européen n’utilise pas le même alphabet que nous. Petite consolation, la monnaie est la même, et ça c’est bien pratique !
Surtout pour faire les marchés de plein air où l’on trouve tous les fruits et légumes de saison, directement du producteur au consommateur.
Athènes et sa banlieue constituent une ville immense, impressionnante par son étendue quand on l’aperçoit depuis quelque colline. Comme à Rome, sa cousine, on compte à Athènes de nombreuses collines auxquelles s’accrochent des milliers d’immeubles de 3 à 4 étages et, comme partout, il manque cruellement de places de stationnement, ce qui ne facilite pas la vie des piétons dont je suis.
Au cours de mes pérégrinations urbaines je constate que la Grèce n’est pas épargnée par les tags, phénomène mondial, lui aussi. Et devant l’ampleur de la tâche, personne ne songe même à les enlever ! Il y aura du travail pour les archéologues des prochains millénaires...!
Pour notre premier WE de juillet, nous sommes partis à la découverte des plages, pas tant pour la baignade que pour les paysages. Et, après avoir traversé des paysages désertiques, nous sommes arrivés sur de sympathiqes petites plages familiales, assez étroites, en galets ou en sable avec, enfin ! le ciel bleu et la mer bleue.
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