Deuxième séjour :
Côté météo, ce n’est pas encore bien brillant et c’est sous une pluie battante et dans le brouillard que nous terminons notre escapade vers les plages en espérant que la montagne, invisible, ne nous tombe pas sur la tête.
Heureusement, le lendemain tout s’arrange et nous pouvons nous adonner à notre passe-temps favori : la randonnée, sur le mont Parnitha. Ca a un peu brûlé l’été dernier et certains endroits ont un air d’apocalypse mais il reste encore quelques zones boisées et verdoyantes et "habitées" en ce début de printemps .
Heureusement, le lendemain tout s’arrange et nous pouvons nous adonner à notre passe-temps favori : la randonnée, sur le mont Parnitha. Ca a un peu brûlé l’été dernier et certains endroits ont un air d’apocalypse mais il reste encore quelques zones boisées et verdoyantes et "habitées" en ce début de printemps .
Pendant qu’Alain travaille (car il est quand même là pour travailler, ne l’oublions pas) je prends mes marques et pars courageusement avec mon podomètre (je fais couramment mes 10 à 15 000 pas par jour) à l’assaut des rues aux trottoirs défoncés, encombrés ou inexistants.
Je fais quelques menus achats d’équipement pour compléter notre installation et je bricole à l’aide de l’astucieuse boîte à outils offerte par Sarah et que j’ai eu la bonne idée d’emporter.
Le WE suivant étant un peu meilleur, nous partons explorer l’île d’Eubée, et son joli petit port de Limni, assez désertique,
et le cap Sounion, déjà bien visité en ce dimanche d’avril.
Oui, c'est aussi ça le cap Sounion !
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