Kea

Ile apparemment déserte mais pleine de bonnes surprises.

Aucune possibilité de réserver un passage à l'avance. Il faut se rendre dans le port secondaire de Lavrio pour avoir une chance d'embarquer vers cette île peu connue bien que proche d'Athènes.




Fréquentée essentiellement par des Grecs, elle possède peu d'hôtels et nous avons bien failli dormir dans la voiture. C'est finalement dans une vaste chambre (à l'entresol) de ce bel hôtel que nous avons trouvé refuge.

Ainsi débarrassés du souci de notre hébergement nous voici partis à la découverte de la "capitale" perchée sur un éperon,


de ses trésors comme ce lion du VIème siècle avant JC

et cet échiquier géant, beaucoup plus récent.

Mais il fait chaud et les plages ne sont pas loin.

Il nous faut aussi parcourir les routes infranchissables pour accéder à ce ravissant monastère.

qui domine cette plage inaccessible malgré nos tentatives.

Ce n'est pas grave, il suffit de marcher une bonne heure sur ce sentier millénaire

pour atteindre cette autre plage et surtout, ce superbe temple repéré sur la carte.

Il y avait même quelques autres fanas (fadas ?) !

Une dernière halte à cette table "dahu"

et il est temps de reprendre le ferry.